En ce qui nous concerne, le chapiteau est autant un choix artistique qu’un choix de vie ; les deux nous semblent d’ailleurs indissociables.
Nous recherchons une forme d’authenticité où l’itinérance fait partie de la base. Elle rythme notre quotidien et nous ramène sans cesse à des choses simples comme la pluie, le vent ou encore la sueur qu’il faut verser pour dresser la toile.
L’itinérance est rude, rigoureuse et généreuse comme le cirque, et, comme lui, avec lui, elle révèle la quintessence du rêve partagé sur la piste. L’espace circulaire est une même mise à nu orchestrée par les contraintes de l’exercice et sublimée par la proximité qui en découle. Et puis, on n’a toujours pas trouvé mieux pour rassembler et focaliser autant de monde dans un si petit espace.
Anaïck Van Glabeke et Olivier Grandperrin L’ENJOLIVEUR
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un spectacle charmant, tendre et nostagique
RépondreSupprimerun joli duo à 3